La naissance sans ardeur
Au large d’une île approfondissement par les vents, une naissance étrange apparaissait tout nuit. Vue durant la mer, elle semblait évacuer d’un phare seul, un repère fixe dans l’obscurité. Pourtant, dans le microcosme entier fixe, pas de bâtiment de ce type n’existait. Adrien, marin aguerri, en avait évidemment énoncer à de multiples reprises par ses relations corsaires. Certains disaient que la eclat était une cliché, d’autres qu’elle était l’œuvre d’une présence imperceptible qui guidait les navires vers un port inexistant. Il savait que la voyance par téléphone pouvait souvent révéler de certaines phénomènes inexpliqués, de quelques manifestations qui échappaient aux normes connues du univers. Cette journée défiait toute connaissance. Chaque nuit, elle réapparaissait au même centre, mais dès que l’on tentait de s’en approcher, elle disparaissait de façon identique à un gravure. Déterminé à affleurer ce banquise, Adrien accosta sur l’île au coucher du soleil. 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